Les Catcheurs de Banlieue

Vu d’ici, la grande époque du catch français est bien loin. Depuis la fin des années 80, l’enthousiasme pour la discipline s’est essoufflée. Pour autant le catch n’est pas mort. C’est à Ris-Orangis que Marc Mercier, ancien catcheur professionnel, tente de donner un second souffle à cette discipline boudé à la fois par la sphère sportive et par le milieu du spectacle. Depuis 2009, date de la création de la ffcp (fédération française de catch professionnelle), il transmet à des jeunes de banlieue son savoir. C’est ainsi que les plus aguerris partent avec lui en gala en rêvant d’Amérique, terre promise où le catch est professionnel. Mais ici, les stars se font rares, les cachets sont modestes et les télés ne se bousculent pas. Un jour peut-être…

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